Comment optimiser sa fiscalité quand on est dentiste en 2026 ?

Comment optimiser sa fiscalité quand on est dentiste en 2026 ?

Le guide complet et accessible pour augmenter son cash et réduire ses impôts

Être dentiste en 2026, c’est exercer une profession très rentable… mais aussi très imposée.
Revenus élevés, statut libéral, charges importantes : sans stratégie fiscale, un dentiste peut perdre 10 000 à 30 000 € par an inutilement.

La bonne nouvelle ?
Il existe des optimisations fiscales légales, simples et efficaces, adaptées à un cabinet dentaire.

Dans cet article, tu vas découvrir :
✔ les erreurs qui coûtent le plus aux dentistes
✔ les stratégies les plus efficaces en 2026
✔ un cas concret avec tableau comparatif
✔ un graphe d’évolution (en ASCII, pour éviter les fichiers/images et rester Google-friendly)
✔ comment augmenter ton revenu net immédiatement


1. Les erreurs fiscales les plus fréquentes chez les dentistes

1) Ne pas optimiser son statut (SELARL / régime fiscal)

Beaucoup de dentistes restent en BNC classique alors qu’ils pourraient gagner davantage en passant en SELARL.

2) Ne pas utiliser le PER (Plan d’Épargne Retraite)

C’est l’outil le plus puissant pour réduire son impôt, pourtant très sous-utilisé.

3) Ne pas optimiser la rémunération-dividendes

Les dentistes confondent souvent :
→ salaire = charges lourdes
→ dividendes = parfois plus avantageux selon le niveau de revenus

4) Ne pas déduire les bons frais

Téléphone, locaux, matériel, amortissements, véhicule… beaucoup de charges sont sous-déclarées.


2. Les meilleures stratégies fiscales pour les dentistes en 2026

1) Le PER : l’arme la plus simple et efficace

Les dentistes ont des revenus élevés → ce qui signifie que chaque euro versé sur un PER offre une réduction d’impôt élevée.

Exemple simple

Si tu es dentiste et que tu gagnes 95 000 € / an :
Tu es dans la tranche marginale 30%.

Un versement de 6 000 € sur un PER =
1 800 € d’impôts économisés immédiatement
→ Et une retraite complémentaire qui se construit.


2) La SELARL + rémunération mixte

Passer en SELARL peut permettre de :

  • réduire les cotisations sociales

  • optimiser le partage rémunération / dividendes

  • bénéficier de la flat tax sur une partie des revenus

  • amortir beaucoup plus de frais liés au cabinet

Idéal pour :

✔ les dentistes avec revenus supérieurs à 80–100k €/an
✔ ceux qui souhaitent investir (PER, immobilier entreprise, matériel)


3) La prévoyance Madelin (si TNS)

Pour les dentistes libéraux (non salariés) :

  • cotisations déductibles fiscalement

  • meilleure protection en cas d’arrêt de travail

  • optimisation intégrée des charges


4) Dédire correctement les véhicules et déplacements

Selon ta situation, tu peux opter pour :

  • véhicule en société

  • IK (indemnités kilométriques)

  • amortissement réel + frais

La différence peut représenter 2 000 à 4 000 € / an.


5) Optimiser les achats de matériels + amortissement

Un fauteuil dentaire, scanner, ou CBCT peut être amorti sur plusieurs années → réduction massive d’impôts.


3. Cas concret : dentiste libéral avec 100 000 €/an

Voici la comparaison entre un dentiste non optimisé et le même dentiste optimisé fiscalement en 2026.

Hypothèses

  • Revenus : 100 000 €

  • Charges fixes : 35 000 €

  • Sans optimisation vs. optimisation basique (PER + frais optimisés + statut adapté)


Tableau comparatif

Sans optimisationOptimisation 2026
Impôt sur le revenu12 800 €                            9 200 €
Cotisations sociales23 000 €19 800 €
Déductions PER0 €-2 400 € (après effet fiscal)
Revenu net final29 200 €38 600 €
Gain annuel+ 9 400 €

💡 Un simple PER + meilleure déduction des frais + statut ajusté = près de 10 000 € d’économie par an.


4. Ce qu’un dentiste doit faire en priorité en 2026

Voici le plan le plus efficace :

Étape 1 : Diagnostiquer ton statut (BNC vs SELARL)

Le gain peut aller de 5 000 à 20 000 € par an.

Étape 2 : Ouvrir un PER adapté

C’est la réduction d’impôts la plus simple et immédiate.

Étape 3 : Optimiser sa rémunération

Mélanger salaire / dividendes si SELARL.

Étape 4 : Faire un audit des frais professionnels

Locaux, matériel, amortissement, déplacements, logiciel, communication…

Étape 5 : Construire une stratégie annuelle avec un cabinet spécialisé

Comme Defisk 


Conclusion : un dentiste peut facilement économiser 10 000 à 30 000 € par an

En 2026, l’optimisation fiscale n’est plus un luxe, c’est une nécessité.
Avec les bons outils (PER, statut juridique, dividendes, amortissements…), un dentiste peut augmenter son revenu net sans travailler plus.



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